Du 13 au 19 décembre 2013

On prend gentiment le rythme, c’est-à-dire au ralenti ! Pas encore hippies, mais plus vraiment occidentales.

On avait réservé la première nuit dans un hôtel à Thamel, quartier des trekkeurs. On flâne dans les magasins et nous rencontrons Matthieu, près d’une doudoune, un Orléanais en provenance d’un ashram d’Inde. Repas avec lui et initiation au Népal… dans un resto israélien… bien sympa !
1ère surprise de taille en rentrant à l’hôtel : il n’y pas de chauffage dans les chambres ! Vu qu’il fait 5 degrés dehors, la nuit a donc été très… très fraîche, bref on était gelé ! Du coup, dès le réveil, achat massif de polaires, doudounes, collants… North face, Mammut, Patagonia, à 20 euros !

Les 3 jours suivants, couchsurfing (on nous reçoit gratuitement sur le canapé) chez Sophie, une française installée à Katmandou depuis 6 ans et Vishnu, son compagnon, roi du Dal Bhat. Ils nous guident dans la ville et nous apprennent pas mal de trucs sur le fonctionnement de la société népalaise : la semaine débute le dimanche et se termine le samedi, nous sommes en 2070, les Népalais n’ont pas d’âge…

Comme nous n’avions pas notre dose de français, nous en avons rencontrés deux autres : Muriel et Boris, installés à mi-temps depuis 7 ans dans le nord de Katmandou, avec qui nous avons même réussi à partager un repas français avec leurs amis népalais. Au menu : blanquette de poulet / salade verte / gâteau aux pommes. Même après 5 jours, ça fait du bien !
Boris ayant une agence de trek, nous partirons avec son ami guide népalais dans un beau village gurung du Manaslu. On vous en reparlera dans 15 jours (pas de wifi au milieu des « collines » népalaises).

Coté visites, les temples commencent à nous sortir par les yeux. On les a tous fait et surtout, surtout Julie a tout photographié : Dubar Square de Katmandou, Durbar Square de Bhaktapur, Stupa de Bodhanath, Stupa de Bhaktapur, Shiva par ci, Shiva par là !

Coté cuisine, on a pu goûter quelques spécialités : le Dal Bath (riz et curry divers), les momo (raviolis), le black tea avec ou sans lait, le rhum khukuri (ambré), le whisky roksi (à base de millet, mais surtout alcool pas cher qui a l’air frelaté). Et on a commencé à préparer nos palais (et tripes et anus) aux épices indiennes mais en version light car c’était mangeable !

Bref…

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